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Orks : guide d’armée complet pour Warhammer 40K
Les Orks sont l’une des factions les plus emblématiques de l’univers de Warhammer 40K. Brutaux, imprévisibles, bruyants et profondément attachants, ils offrent une expérience de jeu unique à celles et ceux qui aiment le combat rapproché, les armées en surnombre, les explosions de puissance brute et les machines rafistolées qui tiennent debout on ne sait comment. Mais sous leur apparente anarchie se cache une armée cohérente, dotée de stratégies redoutables, d’une force de frappe massive, et d’un codex qui récompense l’agressivité bien pensée.
Dans ce guide d’armée Ork, nous allons vous accompagner pas à pas : de la création d’une armée Ork à 1000 ou 2000 points, jusqu’à la construction d’une liste équilibrée, en passant par le choix des unités clés, les tactiques de jeu, les équipements indispensables et les points forts à exploiter sur le champ de bataille. Que vous soyez un hobbyiste qui débute ou un joueur confirmé souhaitant optimiser ses listes, vous trouverez ici une aide concrète pour jouer les Orks efficacement, tout en respectant l’esprit déjanté de cette masse verte inarrêtable.
Prêt à faire rugir la Waaagh ! et à jouer une armée Ork aussi dévastatrice que fun à manier ? Suivez le guide.
Les unités clés de l’armée Ork
Avant de construire une liste d’armée efficace, il est crucial de bien comprendre les unités Orks disponibles et leur rôle sur le champ de bataille. L’armée Ork se distingue par une immense variété d’options : des troupes en surnombre, des personnages charismatiques, des véhicules improbables et des créatures de combat redoutables. Chacune apporte une dimension spécifique à votre force de frappe, que ce soit en corps à corps, en attaque rapide ou en puissance de feu dakka.
Les troupes : Boyz et Gretchins, la masse verte
Les Boyz sont le pilier de toute armée Ork. Pour un coût en points très modeste, vous alignez des escouades nombreuses, capables de submerger l’ennemi au corps à corps. Armés de choppas et de slugga, ou d’armes à distance comme le fusil à un coup, ils bénéficient de la règle "Mob Rule", qui leur confère une résilience psychologique tant qu’ils sont en nombre.
Les Gretchins, quant à eux, remplissent un rôle d’écran ou de prise d’objectifs secondaires. Leur faible coût en points permet de saturer la table et de gêner l’adversaire dans ses déplacements, tout en absorbant les premiers coup ennemis.
Les personnages : Boss, Big Mek et autres chefs de guerre
- Big Mek avec champ de force kustom : pièce maîtresse de nombreuses listes, il protège vos unités clés avec une invulnérable à 5+. Indispensable en milieu de table.
- Warboss / Big Boss : véritable moteur d’assaut, il augmente la létalité de vos boyz à proximité et frappe fort en mêlée. En version Warboss on Warbike, il combine mobilité et puissance.
- Weirdboy : lanceur de sorts Ork (psychic), utile pour booster les boyz, téléporter des escouades ou infliger des blessures mortelles.
- Painboy : ajoute une sauvegarde Feel No Pain (5+) à une escouade, augmentant considérablement son endurance.
Ces personnages Orks sont essentiels pour assurer la cohésion de votre armée, renforcer vos lignes, et tirer parti des règles spéciales du codex.
Les unités élites : Nobz, Meganobz, Kommandos
- Nobz : escouade polyvalente, équipée d’armes lourdes (griffe énergétique, gros kikoup). Excellent choix pour frapper là où ça fait mal.
- Meganobz : version en armure lourde, très résistante, avec un gros potentiel de dégâts massifs. Souvent transportés dans un trukk ou chariot de guerre.
- Kommandos : spécialistes de l’infiltration, parfaits pour l’attaque de flanc, la pression psychologique et les objectifs secondaires.
L’arsenal mécanique : véhicules, squigs et dreads
Les Orks disposent d’un éventail spectaculaire de véhicules et machines de guerre, souvent imprécis mais d’une puissance brute impressionnante.
- Deff Dread / Dread eud’la Mort : machine de combat corps à corps, lente mais dévastatrice.
- Battlewagon / Chariot de guerre : transport blindé, capable d’acheminer vos nobz ou meganobz au cœur de l’action.
- Warbikers : très mobiles, utiles pour les missions de harcèlement et l’attaque rapide.
- Deffkoptas : unité volante, capable de frapper les flancs et de semer le chaos.
- Squighog Boyz : cavalerie montée sur squigs, alliant vitesse, robustesse et attaques brutales.
Chaque type de véhicule ou créature répond à un besoin tactique : percer une ligne, tenir une position, harceler une zone de fond de table, ou saturer l’adversaire par les angles morts.
Stratégies de combat et style de jeu Ork
Jouer Ork, ce n’est pas juste foncer tête baissée en espérant que ça passe. C’est exploiter intelligemment une armée agressive, adaptable, et redoutable lorsqu’elle est pilotée avec méthode. Malgré leur apparence brouillonne, les Orks disposent d’un vrai potentiel tactique, notamment grâce à la pression constante qu’ils imposent, leur aptitude au corps à corps, leur attaque rapide sur les flancs, et leur puissance de feu dakka. Voici comment tirer le meilleur parti de votre armée Ork sur le champ de bataille.
La Waaagh! : mécanique centrale et timing critique
La Waaagh!, cri de guerre emblématique des Orks, représente bien plus qu’un simple bonus narratif : c’est une stratégie offensive majeure. Elle vous offre un avantage de mouvement et des attaques supplémentaires au corps à corps, transformant votre assaut en une vague dévastatrice. Le moment où vous la déclenchez peut déterminer l’issue de la partie.
Conseil tactique : attendez que plusieurs unités soient en position pour charger simultanément. Une Waaagh! bien synchronisée permet de déborder l’adversaire, de multiplier les engagements et de neutraliser ses lignes défensives.
Maîtriser le corps à corps : la force brute Ork
C’est là que les Orks excellent. Qu’il s’agisse de simples boyz ou de puissants nobz, leur rôle est d’avancer vite, de submerger l’ennemi, puis de le broyer au contact. Les Orks gagnent rarement par des échanges de tirs à longue portée ; leur efficacité repose sur la prise de terrain rapide et l’utilisation de forces de frappe ciblées pour saturer les zones critiques.
À retenir :
- Le corps à corps Ork repose sur le nombre élevé d’attaques, pas sur la précision.
- Engagez en multicharge pour verrouiller plusieurs unités adverses.
- Utilisez les gretchins pour créer des zones de blocage.
L’attaque rapide et les flancs : mobilité et désorganisation
Malgré leur réputation de brute épaisse, les Orks peuvent être très mobiles. Des unités comme les warbikers, stormboyz ou deffkoptas permettent de mener des attaques de flanc, capturer des objectifs secondaires, ou menacer les unités de soutien ennemies.
Objectif : désorganiser l’adversaire en l’obligeant à diviser ses forces, pendant que votre masse centrale avance.
La saturation dakka : une puissance de feu sous-estimée
Même si le tir n’est pas leur point fort, les Orks compensent leur imprécision par le volume. C’est l’essence du style dakka : tirer beaucoup, espérer toucher assez, et finir au corps à corps. Des unités comme les lootas, flash gitz, ou mek gunz peuvent tenir un fond de table ou affaiblir l’ennemi avant la charge.
Astuce : combinez une saturation de tir avec un assaut immédiat dans le même tour. Même si le tir ne tue pas, il peut affaiblir une unité cible juste assez pour que vos boyz l’écrasent au contact.
Optimiser sa liste Ork : cohérence et synergie
Avoir une armée Ork pleine de figurines impressionnantes, c’est une chose. Mais pour qu’elle fonctionne réellement sur la table, il faut veiller à la cohérence globale de la liste, à l’équilibre des rôles, et à l’optimisation des synergies entre unités. Ce travail stratégique est indispensable, que vous prépariez une liste à 1000 ou 2000 points. L’objectif : tirer le meilleur parti du codex Ork tout en restant adaptable à différents adversaires.
Construire une liste équilibrée : attaque, prise de terrain et soutien
Une liste Ork performante doit combiner trois grands axes :
- La pression frontale, assurée par vos boyz, nobz, squig riders ou warboss.
- Le contrôle de table, via des unités mobiles comme les deffkoptas, les warbikers ou les kommandos.
- Le soutien, apporté par des personnages clés (Big Mek, Painboy, Weirdboy) ou des unités de tir en fond de table (lootas, mek gunz).
Évitez de tout miser sur un seul aspect (par exemple le full close combat sans soutien ni tir). Une armée bien pensée possède une capacité à engager, à tenir, et à punir.
Renforcer la synergie entre unités
Le codex Ork regorge d’interactions puissantes, à condition de savoir les exploiter. Quelques exemples essentiels :
- Le Big Mek avec champ de force kustom protège une grosse bulle de figurines contre les tirs ennemis.
- Le Painboy augmente la durabilité de vos nobz ou meganobz avec un Feel No Pain (5+).
- Le Weirdboy peut téléporter une unité entière en plein cœur du dispositif adverse (sort "Da Jump"), ou booster les charges.
- Le Warboss donne un bonus à la charge et permet à une unité de boyz de frapper plus fort.
Cette dynamique de soutien vous permet de transformer une masse brute en machine de guerre coordonnée.
Prendre en compte les règles de détachement et de sous-factions
Les Orks disposent de détachements spécialisés avec des règles propres (dans le livre de règles ou via Index / Codex). Exemples :
- Les Goffs favorisent le corps à corps pur avec des bonus de touche et de blesse.
- Les Deathskulls offrent de la polyvalence, avec des relances et des invulnérables.
- Les Evil Sunz boostent la mobilité et la charge.
- Les Snakebites augmentent la résilience en réduisant les blessures.
Chaque style implique une optimisation spécifique : inutile d’aligner 60 boyz sans synergie si vous jouez Deathskulls ; mieux vaut investir dans la mobilité ou le tir de saturation.
Adapter votre liste à l’adversaire
Dans une optique compétitive ou en campagne narrative, il est judicieux d’ajuster certaines entrées en fonction du contexte :
- Contre des Space Marines, misez sur la saturation dakka et les griffe énergétiques.
- Contre des armées populeuses (Garde Impériale, Tyranides), les gros kikoup et chariots de guerre feront le ménage.
- Contre des factions de tir longue portée, utilisez vos unités rapides pour engager les flancs et casser les lignes.
Une liste Ork bien optimisée reste avant tout une liste adaptée à votre style de jeu. Ne suivez pas aveuglément un schéma compétitif si vous ne prenez pas de plaisir à le jouer : l’efficacité passe aussi par la maîtrise.
L’équipement Ork : options et brutalité
Ce qui distingue une armée Ork des autres factions de Warhammer 40K, c’est son rapport unique à la technologie : anarchique, brutale, souvent absurde… mais terriblement efficace. Les Orks manient des armes faites de boulons, de moteurs bruyants et d’idées dangereuses, qui fonctionnent souvent par la seule force de leur croyance. Comprendre les différentes options d’équipement Ork, c’est apprendre à exploiter cette puissance brute au service de vos stratégies de combat.
Armes emblématiques : du gros kikoup à la griffe énergétique
- Gros Kikoup : arme de base de nombreux nobz, elle inflige des dégâts importants tout en gardant un coût modéré. Idéale pour trancher de l'infanterie standard.
- Griffe énergétique : plus lourde, plus lente, mais plus destructrice, elle permet de gérer des cibles blindées ou des personnages résistants. Indispensable dans une escouade d’élite.
- Fusil à un coup : typique de l’esprit Ork, cette arme imprévisible peut infliger de lourds dégâts si elle touche. Parfait pour un big boss ou un mek.
- Lance rokette : option polyvalente, utile pour menacer des véhicules ou appuyer une charge.
- Lame ou scie énergétique (plus rares mais parfois disponibles sur certains kits spéciaux) : apportent des effets supplémentaires contre l’infanterie lourde.
L’idée est de toujours penser en termes de rapport efficacité/coût : un Ork bien équipé ne cherche pas la finesse, mais le maximum de dégâts à court terme.
Véhicules et engins de guerre : la brutalité motorisée
L’équipement ne concerne pas seulement l’infanterie : les véhicules Orks sont de véritables monstres mécaniques dont l’équipement conditionne directement leur rôle sur la table :
- Chariot de guerre (Battlewagon) : peut être équipé de kanon, de lance-flammes, ou de big shoota. Transport de troupe blindé, il devient une forteresse mobile s’il est bien armé.
- Dread eud’la Mort : ses bras mécaniques peuvent être équipés pour le corps à corps ou le tir à courte portée.
- Kopter : rapide et maniable, il peut recevoir des armes légères ou antichars.
- Char à squigs : combine une vitesse brutale avec des options de frappe au contact et de tir aléatoire.
Ces véhicules sont souvent personnalisables, avec des options modulables lors du montage : un point essentiel pour les amateurs de modélisme.
Équipements de soutien et bonus tactiques
- Champ de force kustom (porté par un Big Mek) : l’un des équipements les plus puissants du jeu. Il offre une invulnérable à 5+ aux unités proches, ce qui change radicalement la résistance d’une horde de boyz.
- Gitfinda, télémètres, améliorations de tir : moins courants, ces bonus permettent à certaines unités de bénéficier de relances ou de bonus de précision, notamment chez les flash gitz ou mek gunz.
- Équipements narratifs ou issus de croisade : à ne pas négliger si vous jouez en mode campagne ou jeu narratif, ces options peuvent renforcer le caractère unique de vos personnages.
L’équipement, chez les Orks, ne suit pas une logique d’optimisation pure. Il faut accepter une part d’imprévu et s’en servir comme avantage stratégique. Ce sont souvent ces éléments qui feront la différence sur un coup d’éclat.
Conseils pour jouer efficacement une armée Ork
Les Orks ont la réputation de charger en hurlant et d’écraser tout sur leur passage… et ce n’est pas totalement faux. Mais pour gagner régulièrement avec une armée Ork, il faut plus qu’un bon cri de guerre. Il s’agit d’apprendre à maîtriser le tempo de la partie, à exploiter vos unités au bon moment, et à tirer le meilleur de votre liste d’armée. Voici les fondamentaux à retenir pour jouer efficacement cette masse verte sur les champs de bataille de Warhammer 40K.
Jouer le tempo : anticipation et pression constante
Le succès d’une armée Ork repose sur sa capacité à imposer le rythme. Il ne faut jamais laisser l’adversaire dicter la partie :
- Tour 1 : avancez agressivement pour prendre la table, tout en restant hors de portée des contres majeurs.
- Tour 2 : déclenchez votre Waaagh!, engagez plusieurs unités et mettez votre adversaire sur la défensive.
- Tours suivants : ancrez-vous sur les objectifs, et continuez à envoyer des vagues de troupes au combat.
Chaque tour doit créer une pression physique et psychologique. Votre adversaire doit se sentir envahi, débordé, et contraint à des choix défensifs.
Tirer parti de la force brute… intelligemment
Les Orks brillent au combat rapproché, mais ça ne veut pas dire qu’il faut foncer sans réfléchir :
- Multipliez les charges combinées pour verrouiller plusieurs cibles.
- Visez les unités de soutien ou les cibles faibles pour faire tomber les maillons logistiques de l’armée ennemie.
- Ne gaspillez pas vos nobz ou griffe énergétique sur des cibles secondaires : ils doivent frapper là où ça fait mal.
Utilisez vos unités différemment selon leur rôle :
- Les boyz encaissent et saturent.
- Les warbikers perturbent.
- Les nobz et dreads cassent les murs.
Gérer la fragilité et la défense Ork
Même avec un nombre élevé de figurines, une armée Ork peut vite s’effondrer face à des armées de tir soutenu si elle est mal positionnée :
- Protégez vos unités avec un champ de force kustom ou un painboy.
- Planquez vos personnages derrière des troupes pour éviter qu’ils ne soient ciblés.
- Utilisez les gretchins comme boucliers ou pour bloquer les lignes de vue.
Jouer Ork, c’est comprendre que votre résilience repose sur la redondance, pas sur la solidité individuelle.
Exploiter le terrain et les objectifs
Les Orks ne sont pas qu’une armée de baston. Ils peuvent très bien jouer le scénario :
- Envoyez des kommandos ou des kopters sur les flancs pour capter des objectifs secondaires.
- Protégez vos objectifs de fond de table avec un mek gunz ou quelques boyz en retrait.
- N’hésitez pas à sacrifier une unité pour gêner un mouvement ennemi ou bloquer une ligne de tir.
Un bon joueur Ork sait que la victoire ne se joue pas uniquement à la force… mais aussi à la position et à l’initiative.
Les points forts des Orks à exploiter en partie
Pour maximiser vos chances de victoire avec une armée Ork, il est essentiel d’avoir une vision claire de ses points forts. Trop de joueurs se contentent de "jouer fluff", sans tirer parti des véritables avantages mécaniques de cette faction. Voici donc les axes stratégiques majeurs à exploiter pour faire parler la puissance brute des Orks sur la table.
Le nombre élevé : saturation, zone contrôle, résilience mentale
L’un des plus grands atouts des Orks, c’est leur masse. Là où certaines armées alignent 20 figurines, vous pouvez facilement en poser 80 à 100 à 1000 points. Ce nombre élevé vous permet :
- De saturer les objectifs et d’occuper l’espace dès les premiers tours.
- D’absorber les pertes sans affaiblir votre présence sur table.
- De bénéficier de règles comme Mob Rule, qui rend vos unités plus résistantes au moral tant qu’elles restent nombreuses.
En pratique, cela signifie que vous pouvez imposer votre présence, forcer des échanges et user l’adversaire par simple surcharge.
Une puissance de frappe impressionnante au corps à corps
C’est le cœur du gameplay Ork : engager vite, fort, et avec excès. Vos unités infligent des dégâts massifs, surtout en mêlée :
- Une escouade de 10 nobz équipée de griffes énergétiques peut détruire une unité d’élite adverse en une seule phase de combat.
- Les squighogs, les meganobz ou les warboss sont capables d’éliminer des blindés lourds ou des personnages-clés.
Ajoutez à cela la Waaagh! et ses bonus à la charge et aux attaques, et vous obtenez une vague destructrice capable de renverser des parties.
Une capacité d’attaque rapide sous-estimée
Les Orks ne sont pas lents. Bien au contraire, ils disposent d’unités extrêmement mobiles :
- Warbikers : rapides, capables de harceler et d’esquiver.
- Stormboyz : parfaits pour des frappes éclair derrière les lignes ennemies.
- Deffkoptas : mobiles, résistants, et idéaux pour les objectifs secondaires.
- Trukks et battlewagons : pour transporter vos troupes à pleine vitesse.
Cette mobilité vous permet de surprendre, de déborder les lignes ennemies, et de créer un déséquilibre stratégique.
Une brutalité technologique unique
Même si elle est peu précise, la technologie Ork est létale :
- Des armes lourdes comme les mek gunz ou les lance rokette peuvent punir les cibles prioritaires.
- Des véhicules comme les battlewagons ou dreads servent à la fois de plateforme de tir et de bélier mobile.
En combinant tir chaotique et assaut destructeur, vous forcez l’adversaire à gérer plusieurs menaces à la fois, souvent avec trop peu de ressources.
Une armée qui gagne à l’usure
Enfin, les Orks brillent dans les parties qui durent :
- Leur résilience collective permet de tenir plus longtemps.
- Leur capacité à revenir dans la partie après un tour difficile est réelle, grâce au nombre et à la redondance.
- Les gretchins, souvent ignorés, permettent de marquer des points sans risque.
Sur une partie de 5 tours, une armée Ork bien jouée va étouffer l’adversaire par son volume, sa brutalité, et sa capacité à tenir les positions clés.
FAQ – Armée Ork Warhammer 40K
Comment bien débuter une armée Ork ?
Commencez par une liste à 1000 points, avec des boyz, un big mek, un warboss, et une unité mobile comme des warbikers. La patrouille de combat Ork est une excellente base.
Quelles sont les unités indispensables dans une armée Ork ?
Les boyz (troupes de base), le big mek avec champ de force kustom, un warboss ou weirdboy pour le commandement, et au moins une unité rapide comme les kopters ou les warbikers.
Est-ce que les Orks sont compétitifs en V10 ?
Oui, bien construits et bien joués, ils sont capables de rivaliser avec toutes les factions. Leur synergie, leur saturation, et leur capacité de contrôle de table sont excellentes.
Quelle sous-faction Ork choisir pour une armée efficace ?
Les Goffs pour le corps à corps pur, les Deathskulls pour la polyvalence, les Evil Sunz pour la mobilité et la charge. Tout dépend de votre style de jeu.
Dois-je privilégier le corps à corps ou le tir avec les Orks ?
Les Orks brillent au combat rapproché, mais un appui de tir dakka (lootas, flash gitz, mek gunz) est utile pour affaiblir l’adversaire avant la charge.