Arigato - Mélodye Ladrat, Florian Sirieix - Ludonaute

Des dilemmes à chaque tour dans la gestion du village

À la tête d’un village, chaque joueur doit choisir au mieux parmi ses 5 cartes artisans, sélectionner un résident, deux fabricants et deux voyageurs, puis décider lesquels envoyer au palais du Shogun. Chaque artisan déclenche des effets uniques, forge des objets ou optimise la production, déclenchant des combos savoureuses qui rendent la gestion palpitante.

Une mécanique de draft et de rôles simultanés

Tous les joueurs jouent en même temps : on drafte, on attribue les rôles en secret, puis on révèle, collecte des ressources et prépare les offrandes. Les choix se corsent quand il s’agit d’adapter sa stratégie aux caprices du Shogun, qui impose chaque jour un nouvel objectif à remplir. Ce système évite tout temps mort et favorise l’interaction : anticipation et adaptation sont la clé.

Des règles fluides et une course à l’offrande

Le plateau village limite à quatre artisans actifs, ce qui pousse à calculer ses combos et son timing. Pour livrer une offrande au palais, il faut peindre les Darumas en ajoutant des dés de valeur 1 aux pupilles. Les objectifs quotidiens, variés et toujours différents, poussent à renouveler sa stratégie à chaque manche, pour scorer un maximum de faveurs en fin de partie.

Une rejouabilité et une tension renouvelées à chaque partie

Avec 100 cartes artisans, différents plateaux village et porte, plus de 60 jetons objet et de multiples objectifs, chaque session d’Arigato prend une saveur inédite. L’alternance entre gestion, anticipation et adaptation, couplée à des graphismes apaisants et tactiles, en fait un jeu à ressortir à chaque soirée ludique pour de nouvelles aventures pleines de surprises.