Renversant la perspective sur la question du « que produire ? », il invite à cesser d'envisager le monde comme un stock de ressources (humaines, biologiques, minérales) indéfiniment exploitables et à reconstruire l'idée d'un travail créatif, attrayant, maîtrisé, réduit dans le temps, partagé, et avant tout, désaliéné.